Le Ripplecove Hôtel & Spa : la nouvelle coqueluche des Cantons-de-l’Est, par Claudine Hébert

Hébergement, Investissements · publié le 18 juillet 2023 · Commenter

L’équipe du chic Ripplecove Hôtel & spa, à Ayer’s Cliff compte bien profiter de l’attrait de la région des Cantons-de-l’Est qui figure au 49^e rang (sur 52) de la liste des destinations à visiter en 2023 selon le prestigieux journal New York Times.

Près de 45 millions d’investissement

Bonifié de travaux de rénovations et de nouvelles constructions qui frôlent les 45 millions de dollars (gracieuseté de l’investisseur Richard Laliberté, propriétaire des lieux depuis 2017), l’établissement suggère désormais plus de 70 chambres (le double d’il y a cinq ans) et suites, dont la plupart bénéficient d’une vue sublime sur le lac Massawippi. Depuis juin, se sont également ajoutées huit villas de luxe qui peuvent accueillir de six à huit personnes, désignées comme étant L’Espace-Villas.

Viser les 200 événements et plus

Grâce à ces nouveautés, ainsi que deux nouvelles salles pour 100 personnes, dont la livraison est prévue dès septembre, la directrice générale de l’hôtel, Line Latour, ne vise rien de moins qu’un calendrier chargé de plus de 200 événements d’affaires et d’agréments par année. Ce qui hisserait le complexe hôtelier bénéficiant d’une des plus belles caves à vin de la région, parmi les dix destinations affaires les plus courues de la province.

Rappelons que cette gestionnaire a accompli des exploits lorsqu’elle occupait le poste de direction des ventes au complexe L’Estérel, dans les Laurentides. Selon le dernier classement des destinations congrès et événements favorites au Québec, publié dans Les Affaires en 2019 – soit juste avant la pandémie–, l’Estérel figurait au 7^e rang.

Retour du Québec sur la liste du New York Times

Mentionnons que la dernière fois qu’une destination québécoise a fait partie de la liste du New York Times remonte à l’année 2015. Il s’agissait de la ville de Québec. Reste à voir si la visite américaine se laissera séduire par ce que la journaliste surnomme le Canada’s New England avec une touche française.