Nouvelle image, même nature

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Pour se rapprocher de leur essence, les pourvoiries du Québec se repositionnent. Tirez-vous une bûche et venez découvrir les 330 histoires qu’ont à raconter autant de pourvoyeurs passionnés.

La Fédération des pourvoiries du Québec lance cette semaine un nouveau site Web qui risque d’en surprendre plus d’un, principalement ceux qui croient encore que pour fréquenter une pourvoirie, il faut une barbe, des hameçons et une carabine. Les pourvoiries, c’est tellement plus que ça. 

Pourvoirie Broadback/Crédti: Hooke

L’ultime différence

Au-delà de la chasse et de la pêche, qu’est-ce qui peut bien différencier autant la pourvoirie d’une Zec, d’un centre de plein air ou d’un site géré par l’État? Pour Josiane Lavallée, responsable des communications marketing de la Fédération des pourvoiries du Québec, la réponse est simple. «Ce sont les pourvoyeurs eux-mêmes qui enrichissent l’expérience au point de faire toute la différence», résume la jeune femme. Cette réponse, elle l’a obtenue de nombreux sondages réalisés auprès de la clientèle et de ses partenaires.

Généreuses de nature

Vivre une expérience en pourvoirie implique un contact direct avec un humain passionné, et souvent avec sa petite famille. «Il est clair que pour être pourvoyeur, il faut aimer le monde, savoir recevoir et avoir envie de partager son savoir. Nos 330 pourvoyeurs membres de la Fédération connaissent leur territoire comme personne. Et ils ne demandent qu’à le partager», affirme Josiane. 

Le nouveau slogan – Généreuses de nature – s’est imposé comme un naturel. «Les pourvoyeurs partagent tout : leur temps, leurs tripes, leur amour du territoire, leurs connaissances. C’est dans leur nature de gens authentiques, passionnés, chaleureux, protecteurs de la ressource. Ils sont vraiment là pour prendre soin du territoire autant que de la clientèle», confirme Josiane. Les clients des pourvoiries souhaitent ouvrir leurs horizons. «Ils ont besoin de connexion, de s’évader, de changer d’air. Et sont ouvert à de nouveaux apprentissages.» 

Lire la suite du texte de Diane Laberge, dans Le Soleil


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