Les pourvoiries: pour découvrir le Québec et sa vraie nature

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Espaces culte de chasse et pêche, les pourvoiries sont aujourd’hui des lieux privilégiés de vacances où décrocher du quotidien et reconnecter avec sa vraie nature. Regard sur une industrie québécoise rentable autant qu’écoresponsable, consciente des enjeux, aujourd’hui pour demain.

Club de chasse et pêche Stramond/Crédit: Guillaume D. Cyr

Au cours des 10 dernières années, les pourvoiries ont pris un important virage pour entrer de plein pied dans la modernité. «Bien sûr, la chasse et la pêche y sont toujours un attrait important – on ne change pas une formule gagnante. Mais saviez-vous que les pourvoiries sont aujourd’hui le plus grand réseau d’hébergement en milieu naturel au Québec? Leur offre touristique multi-activités en fait une destination de choix pour les amoureux de villégiature en territoire sauvage», résume Dominic Dugré, directeur général de la Fédération des pourvoiries du Québec. Envie de découvrir les bienfaits d’un contact privilégié avec la nature et faire de formidables rencontres humaines? Par ici.  

Portrait d’une industrie florissante

Les pourvoiries contribuent depuis longtemps à l’économie régionale. Et pas juste un peu! «Les 510 pourvoiries du Québec représentent plus de 4000 emplois et génèrent plus de 249,4 M$ en retombées économiques», avance le directeur général. «Très bien organisé, le réseau offre le meilleur accès aux forêts québécoises, du Nunavik en passant par la Haute-Mauricie, les monts Valin et l’Outaouais. Pour découvrir le Québec et ses particularités régionales – y compris ses saveurs locales – les pourvoiries sont des territoires d’exception.» Pas surprenant que plus de 500 000 personnes – dont 100 000 étrangers – y posent bagage chaque année pour des séjours prolongés.

Lire la suite du texte de Diane Laberge, dans Le Soleil


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