France, Québec : même combat!

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Durant la dernière année, j’ai eu le plaisir d’accompagner et de former des socios-pros autant en France qu’au Québec. Et s’il existe bien sûr quelques différences entre la réalité des petites et moyennes entreprises (PME) touristiques en opération dans les Hautes Pyrénées et celles de leurs cousins québécois dans les Cantons-de-l’Est, la Montégérie ou Mont-Tremblant, on retrouve étonnamment plusieurs points en commun. C’est particulièrement le cas quand il est question de marketing digital, et de ses difficultés inhérentes pour les PME.

Je vous rassure: ces enjeux sont partagés autant par les très petites entreprises, des deux côtés de l’Atlantique. Voici donc un échantillon de sept difficultés bien légitimes, et leurs solutions possibles.

1. On n’a pas le temps

C’est très certainement la complainte la plus fréquente, surtout pour un gîte où le propriétaire répond au téléphone, nettoie les chambres, prépare le petit-déjeuner et doit, à temps perdu, publier une story ou une vidéo courte (reel) super-méga-originale-avec-le-dernier-tube-de-Dua-Lipa-et-les-hashtags-tendances-de-l’heure! Ou pas!

Le manque de temps, toutefois, ne saurait être une excuse pour ne rien faire. Parmi les solutions possibles:

  • Octroyer un contrat en freelance pour de la création de contenu (surtout vidéo) en échange de services ou en collaborant avec des stagiaires en école multimédia, par exemple.
  • Trouver des employés en interne qui ont des aptitudes et le désir de contribuer, surtout pour les entreprises saisonnières.
  • Miser sur un calendrier tactique et/ou éditorial. Je sais, je sais, ça peut être chiant de préparer quelques semaines, voire quelques mois à l’avance, mais c’est ainsi qu’on peut préparer le terrain aux Fêtes de fin d’année, à la relâche scolaire en mars, aux vacances estivales, etc.
  • Mutualiser les ressources avec d’autres entreprises comme la vôtre. Un gestionnaire de communauté à la pige pourrait être intéressé de bosser pour un petit hôtel, un bistro, un musée, et une auberge dans une certaine destination, par exemple. À quatre ou cinq entreprises, on peut alors se permettre ce que l’on ne saurait (ou pourrait) faire seul.

2. On n’a pas les ressources

Cette complainte est intimement liée à la précédente, mais pas toujours. Certains propriétaires ou gestionnaires marketing savent trouver le temps qu’il faudrait mettre pour bien alimenter les médias sociaux et décliner la proposition de valeur sur le web… mais peinent à trouver les outils ou les ressources afin d’être plus efficaces dans cette démarche!

Des ressources, il en existe néanmoins plusieurs...

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Source: etourisme.info

Nominations

NOMINATIONS SEMAINE DU 25 MARS 2024

  • Tourisme d’Affaires Québec – Audrée Lavertu
  • Tourisme durable Québec — Julie Jodoin Rodriguez
  • Westin Montréal – Sylvain Levaillant
  • Westin Montréal – Martin Bertrand
  • Auberge Godefroy – Caroline Laflamme
  • Auberge Godefroy et Hôtel Montfort – Francine Bouffard
  • HSMAI Québec – Geneviève Duval

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