Ouverture du camping Grosbois au Parc national des Îles-de-Boucherville
C’est le 17 juillet prochain que les tout premiers campeurs du parc national des Îles-de-Boucherville aborderont l’île Grosbois et ses 54 emplacements de camping sans services et ses 21 prêts-à-camper en tente Huttopia. « Il s’agit d’une belle occasion de découvrir ce magnifique parc national qui offre tout autant d’intérêt pour les non-initiés que pour les habitués de grande nature », indique M. Martin Soucy, le vice-président exploitation Parcs Québec.
À pied, à vélo ou en embarcation…
Après avoir laissé leur voiture et s’être inscrits au centre de découverte et de services de l’île Sainte-Marguerite, les campeurs accèderont à leur emplacement de camping à pied ou à vélo par un sentier en bordure du fleuve ou encore en petite embarcation. Ils pourront emprunter une remorque pour transporter leur matériel ou bien se prévaloir du service de transport de bagages. Quoi qu’il en soit, la randonnée de 3 km à l’île Grosbois est une promenade des plus agréables.
Un séjour bien rempli
Plusieurs activités de découverte sont offertes aux campeurs. Si quelques-unes demandent une contribution pécuniaire, elles sont toutes gratuites pour les moins de 18 ans. Parmi les nouvelles activités, 2 400 ans d’histoire explore le site archéologique Boucher-de-Grosbois, où divers aménagements et animations témoignent de la présence autochtone, et Découverte du marais est une véritable initiation à un milieu de vie remarquable en plein coeur du fleuve Saint-Laurent.
À deux pas de la ville, l’île Grosbois constitue un lieu d’une richesse naturelle et culturelle extraordinaire à découvrir absolument au cours de l’été! Le directeur du parc national des Îles-de-Boucherville, M. Daniel Groleau, mentionne que « le caractère spécial qui se dégage comme esprit des lieux, l’ambiance insulaire et champêtre, les fleurs et les bosquets sauvages, les arbres à grand déploiement, la proximité du fleuve, le chant des oiseaux qui sont présents à profusion, tout est réuni pour charmer le promeneur et lui donner envie d’y revenir ».
Source : Sépaq
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