Les vertus de la transparence
J’ai eu le plaisir de participer à la 7e édition de la Semaine des Réseaux Sociaux à Québec, qui se tenait du 6 au 10 novembre dernier, culminant par une journée de conférences portant sur les influenceurs et le marketing d’influence. Un sujet chaud, dont je vous parlais d’ailleurs dans mon plus récent article: 5 conseils marketing pour travailler avec un influenceur.
UN INFLUENCEUR, MOI ?
En matinée, j’ai tout d’abord participé à un panel en l’agréable compagnie de Bruno Guglielminetti, Nellie Brière et Frédéric Therrien, le tout animé par Amélie Côte, d’Expose Media. Une discussion fort intéressante et respectueuse pendant plus d’une heure et quart, sur le rôle des influenceurs dans une stratégie marketing, l’impact des médias sociaux et du hashtag #metoo #moiaussi dans le bouleversement social que l’on vit présentement, et plus encore.
J’ai souvent parlé du rôle des influenceurs dans une approche marketing, et de leur popularité croissante depuis quelques temps. Ça faisait drôle de me retrouver dans la chaise d’un soi-disant « influenceur », un titre flatteur que d’autres peuvent bien me donner, mais que je n’assume jamais d’emblée. Mais suis-je vraiment un influenceur?
Je me suis reposé la question depuis, et j’ai réalisé être souvent sollicité pour rédiger des articles sur ce blogue ou sur d’autres plateformes à titre d’invité-expert en marketing, en marketing numérique, en tourisme ou une combinaison de ces champs d’expertise. Tenez, pas plus tard que ce matin j’ai refusé de rédiger un article pour un média, car je considérais que cela pouvait affecter la perception de neutralité que je tente de conserver à titre de consultant indépendant. Bref, vaut parfois mieux dire non à un contrat payant, si cela risque d’affecter sa crédibilité à moyen et long terme.
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Source: Frédéric Gonzalo
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