La massothérapie valorisée et prisée par l’Association québécoise des spas (l’AQS)

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La rareté de la main-d’œuvre est un phénomène qui inquiète et qui donne bien des maux de tête aux propriétaires de spas. C’est une réalité qui affecte le Québec et le reste du Canada. Ainsi, selon un sondage de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante, ce sont près de deux PME sur trois qui peinent à trouver du personnel. En fait, les enjeux concernant la pénurie de main-d’œuvre étaient déjà présents avant la crise sanitaire dans bien des secteurs, mais cette dernière a toutefois intensifié le problème. Et si l’on regarde chez nos voisins américains ou du côté de l’Europe, le portrait semble assez similaire. 

Dans un tel contexte, les spas n’y échappent pas. Ils ont de la difficulté à recruter des massothérapeutes, d’autant plus que cette industrie est en plein essor dans plusieurs régions de la province.

À cela s’ajoute le fait que les écoles formant les massothérapeutes traversent une période de croissance soutenue, amenant ainsi son lot de défis pour ces établissements. Il manque de professeurs titulaires en massothérapie, de chargés de cours en techniques de massage, de suppléants, ce qui les obligent à devoir refuser des demandes de futurs étudiants. La massothérapie connaît une demande fulgurante. Ainsi, l’expertise des diplômés en massothérapie est recherchée par l’ensemble des employeurs d’établissements spa et cela ne fera qu’augmenter.  

De ce fait, il serait souhaitable que cette profession acquière un peu plus de notoriété dans l’avenir auprès des jeunes et également des moins jeunes. La massothérapie est définitivement un métier à envisager pour quiconque souhaite effectuer un changement de carrière, considérant la durée de la formation qui est relativement courte. La formation de base est de 400 heures et peut s’étendre à 1000 heures, pour optimiser les compétences des étudiants. Par ailleurs, une formation en massothérapie peut être un atout additionnel considérable pour certains professionnels de la santé, pensons ici aux infirmières et aux kinésiologues, entres autres.

Plusieurs facteurs peuvent être pris en compte pour expliquer les difficultés de recrutement. La pénurie de main-d’œuvre est un problème complexe, c’est pour cela qu’il faut l’aborder sous tous ses angles afin de trouver des solutions pérennes. Devant ce constat, le rayonnement de la profession de massothérapeute s’avère primordial. Le massothérapeute favorise la conscience du corps et procure aux clientèles, un apaisement instantané, une amélioration du système immunitaire, une meilleure résistance au stress et agit, ainsi, en prévention pour une multitude de maux.

La massothérapie est un métier valorisé en ce temps de pandémie et prisée par l’Association québécoise des spas (L’AQS).


L’Association québécoise des spas

Créée en 2012, l’Association québécoise des spas (AQS) veille à représenter et mobiliser l’industrie des établissements spas au Québec. Elle soutient et défend les intérêts d’une soixantaine de membres répartis dans 14 régions touristiques et agit à titre de porte-parole du secteur.

L’AQS est reconnue par le ministère du Tourisme du Québec comme étant une association touristique sectorielle (ATS), représentant le secteur des établissements spas au Québec.

Contacts :
sans frais : 1 800 788-7594
Direction générale : direction@associationquebecoisedesspas.com
Service à la clientèle : info@associationquebecoisedesspas.com


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