La Biosphère dans la mire de la SAT
La Société des arts technologiques a l’oeil sur la Biosphère de l’île Sainte-Hélène et souhaiterait y développer un vaste complexe environnemental alliant recherche scientifique et expression artistique technologique. Pendant ce temps, Héritage Montréal se joint à elle pour faire pression afin de faire reconnaître le chef-d’oeuvre architectural de Richard Buckminster Fuller qui fut le pavillon des États-Unis durant l’Expo 1967, au patrimoine mondial de l’UNESCO.
La Société des arts technologiques (SAT), qui a pignon sur rue boulevard Saint-Laurent à Montréal, aimerait pouvoir occuper les lieux dès l’été 2017. Elle doit cependant obtenir à ce sujet l’aval du gouvernement fédéral, qui est locataire de l’endroit jusqu’en 2019.
Joyau d’architecture
Héritage Montréal attend toujours que le Canada monte un dossier pour faire reconnaître ce joyau d’architecture, conçu par le visionnaire Buckminster Fuller. Il s’agit du plus imposant dôme géodésique au monde, qui est devenu d’ailleurs l’édifice symbole de l’expo 67, dont on célébrera le 50e anniversaire en 2017.
Avant toute demande de reconnaissance de l’UNESCO, il faudrait « reconnaître la biosphère sur le plan national, ce qui n’est pas encore fait », commente Dinu Bumbaru, d’Héritage Montréal, qui accompagne la SAT dans ce dossier. Lire la suite.
Source : Le Devoir
Les plus commentés