Festival de jazz de Montréal: changer la musique en retombées économiques
Le fondateur du Festival international de jazz de Montréal (FIJM), Alain Simard, organisait son événement autour d'un budget de 70 000 $ lorsque Ray Charles a ouvert la toute première présentation en 1980.
Il était alors loin de se douter que le festival éviterait la faillite et générerait des millions de dollars et autant de spectateurs, pour devenir l'un des événements estivaux les plus rentables au pays.
«On n'aurait jamais pu imaginer que ça deviendrait un symbole de Montréal et que ça générerait des retombées économiques de 100 millions de dollars chaque année», confie Alain Simard. Lire la suite.
Source : La Presse
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