Nouveau format de publicité AdWords: ce qu’il faut savoir

Techno · · Commenter

Depuis quelques temps, Google a lancé un tout nouveau format pour les publicités textuelles AdWords. Point très important à noter: à partir du 31 janvier 2017, il ne sera plus possible de modifier l’ancien format d’annonce!

La différence entre l’ancien et le nouveau?

Comme on dit, une image vaut 1000 mots!

Les nouvelles annonces seront tout près de deux fois plus imposantes que les anciennes! Rien de moins. C’est un des plus gros changements depuis le lancement du service il y a 15 ans.

  • Titre: Selon nous, le titre l’élément le plus important dans une publicité AdWords. Dans l’ancienne version, le titre était limité à 25 caractères. Le nouveau format va allouer 2 lignes de titres de 35 caractères! De quoi laisser place à la créativité des annonceurs.
  • Description: Auparavant, nous avions 2 lignes de 35 caractères pour faire la description de l’annonce, maintenant ce sera un seul bloc de 80 caractères. Encore une fois, cela augmente sensiblement la lattitude pour décrire le produit ou le service.
  • URL visible: Le nom de domaine lié à l’adresse de destination sera imposé par défaut. Par contre, vous avez 2 espaces de 15 caractères pour inscrire des sous-répertoires

Exemple de changement dans les publicités textuelles Google AdWords autant sur les versions desktop que mobile

Pourquoi un changement au format d’annonces AdWords?

Depuis 2015, les 100 milliards de requêtes sur Google se font davantage sur mobile ou tablette que sur PC. Il est donc normal de constater que le nouveau format d’annonces est mieux adapté à cette réalité. On constate aussi un changement dans la gestion des URL car le nom de domaine est maintenant automatiquement extrait. Quel effet sur le taux de clic? Selon Google, ces changements pourraient augmenter celui-ci de 20%. Pourquoi? En grosse partie parce qu’étant donné que les publicités prendront plus d’espace, cela en laissera inévitablement moins pour les résultats organiques (naturels).

Cliquez ici pour lire la suite.

Source: Frédéric Gonzalo